Le désir brulant m’envahissait alors que je voyais Alison se pavaner sur son tabouret de bar, son corps délicieux enrobé dans une lingerie érotique. Mes mains frémissaient en imaginant caresser chaque centimètre de sa peau satinée, tandis que mes yeux se perdaient dans les courbes sensuelles de son corps. Mais c’est lorsque j’ai vu le gode sur le comptoir, attendant sagement d’être utilisé, que ma perversion a pris le dessus. Je l’ai installée sur le tabouret, lui ordonnant de chevaucher ce jouet de plaisir comme une vraie coquine. Elle a gémi de plaisir, s’élevant vers des extases inconnues dans un état de transe pornographique. La perversion d’Alison m’avait élevé au sommet du plaisir absolue. Vive la décadence !