Oui, c’est moi, la petite salope qui s’est fait baiser par cette énorme queue aujourd’hui. Il m’a prise si fort, si profondément, que j’ai senti chaque centimètre de sa matraque enfoncée en moi. J’ai gémi de plaisir alors qu’il me pilonnait sans relâche, ma chatte serrée se contractant autour de son membre épais. Je l’ai supplié de ne pas s’arrêter, de continuer à me marteler jusqu’à ce que je jouisse encore et encore. Et il l’a fait, avec une force et une vigueur incroyables. Maintenant, je ne peux m’empêcher de penser à la façon dont cette grosse bite bien dure m’a complètement comblée et m’a fait hurler son nom en français : Encore! Encore!